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Fouad
Elkoury, Passing Time
Edited by Gregory Buchakjian,
Fouad ElKoury & Manal Khader
Project coordination: Nour
Salamé
Book design: Jérôme
Saint-Loubert Bié assisted by
Eliot Nasrallah
Published by Kaph Books, Beirut
24,5 x 28,5 cm (softcover in
slipcase) 280 pages (165 color
& b/w ill.)
Available in French/Arabic or
English/Arabic
ISBN : 978-614-8035-04-3
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"Selecting, sorting,
looking: an archeology of
Fouad Elkoury’s photographic
career" (PDF)
Fouad Elkoury, Passing Time
Sous la direction de Gregory
Buchakjian, Fouad ElKoury
& Manal Khader
Coordination : Nour Salamé
Conception graphique : Jérôme
Saint-Loubert Bié assisté
d'Eliot Nasrallah
Publié par Kaph Books,
Beyrouth
24,5 x 28,5 cm (broché, couv.
à rabats, sous étui) 280 pages
(165 ill. coul. et n&b)
Disponible en Français/Arabe
et Anglais/Arabe
ISBN : 978-614-8035-05-0
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"Selecting,
sorting, looking: an
archeology of Fouad
Elkoury’s photographic
career" (PDF)
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"Selecting,
sorting, looking: an
archeology of Fouad
Elkoury’s photographic
career" Gregory
Buchakjian
[Excerpt]
More
than half a century
after he started out,
Elkoury is still
constantly taking
photographs, walking,
and writing. The walking
is so that he can tell
stories, so that
encounters come his way,
and for the sensation of
time passing by — a
feeling captured in the
Arabic phrase mourour al
zaman (the passage of
time). Walking,
wandering, and
assimilating the world
bring the magic into
operation — and the
photos happen almost by
themselves. This is why
he speaks of “taking
photos almost blind”, as
if his arm was in charge
and his eyes didn’t need
to be there,
underscoring the fact
that “the scene comes to
me. All the photos came
to me. I don’t compose.
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« Sélectionner,
classer, regarder :
une archéologie du
parcours
photographique de
Fouad Elkoury »
Gregory Buchakjian
[Extrait]
Plus d’un demi siècle
après ses débuts, cet
homme ne cesse de
photographier, de
marcher et d’écrire.
La marche est aussi là
pour raconter des
histoires, pour
laisser les rencontres
arriver à lui, sentir
le temps passer, ce
qu’on appelle en arabe
« mourour al zaman »
(le passage du temps).
La marche, l’errance
et l’assimilation du
monde font que la
magie opère, et que
les photos viennent,
presque toutes seules.
Il parle ainsi de «
faire des photos
presque à l’aveugle »,
comme si c’était son
bras qui commandait,
et que ses yeux
n’avaient pas besoin
d’être là, soulignant
le fait que « la scène
vient à moi. Toutes
les photos sont venues
à moi. Je ne compose
pas. Elles étaient là,
il suffisait de voir
».
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